Private Party
Libellule, Priva star des films x partouze avec Claudia Claire dans une soiree privee
innocente que j'attire dans nos filets. Eh bien, baiseur, ce projet est-il digne de mon imagination ?
Il ne peut être conçu que par elle ; il est divin, ma soeur, et je te promets d'y remplir à merveille le rôle charmant que tu m'y destines. Ah ! friponne, comme tu vas jouir du plaisir d'éduquer cette enfant ! quelles délices pour toi de la corrompre, d'étouffer dans ce jeune coeur toutes les semences de vertu et de religion qu'y placèrent ses institutrices ! En vérité, cela est trop roué pour moi.Il est bien sûr que je n'épargnerai rien pour la pervertir, pour dégrader, pour culbuter dans elle tous les faux principes de morale dont on aurait pu l'étourdir ; je veux, en deux leçons, la rendre aussi scélérate que moi... aussi impie... aussi débauchée. Préviens Dolmancé, metsle au fait dès qu'il arrivera, pour que le venin des ses immoralités, circulant dans ce jeune coeur avec celui que j'y lancerai, parvienne à déraciner dans peu d'instants toutes les semences de vertu qui pourraient y germer sans nous.
Il était impossible de mieux trouver l'homme qu'il te fallait : l'irréligion, l'impiété, l'inhumanité, le libertinage découlent des lèvres de Dolmancé, comme autrefois l'onction mystique de celles du célèbre archevêque de Cambrai ; c'est le plus profond séducteur, l'homme le plus corrompu, le plus dangereux... Ah ! ma chère amie, que ton élève réponde aux soins de l'instituteur, et je te la garantis bientôt perdue.
Libelulle : Cela ne sera sûrement pas long avec les dispositions que je lui connais...
Le baiseur : Mais, dis-moi, chère soeur, ne redoutes-tu rien des parents ? Si cette petite fille venait à jaser quand elle retournera chez elle ?
Libelulle : Ne crains rien, j'ai séduit le père... il est à moi. Faut-il enfin te l'avouer ? je me suis livrée à lui pour qu'il fermât les yeux ; il ignore mes desseins, mais il n'osera jamais les approfondir... Je le tiens.
Le baiseur : Tes moyens sont affreux !
Libelulle : Voilà comme il les faut pour qu'ils soient sûrs.
Le baiseur : Eh ! dis-moi, je te prie, quelle est cette jeune personne ?
partouze soiree privee
Libelulle : On la nomme salope, elle est la fille d'un certain Mistival, l'un des plus riches traitants de la capitale, âgé d'environ trente-six
ans ; la mère en a tout au plus trente-deux et la petite fille quinze. Mistival est aussi libertin que sa femme est dévote. Pour salope, ce serait en vain, mon ami, que j'essaierais de te la peindre : elle est au-dessus de mes pinceaux ; qu'il te suffise d'être convaincu que ni toi ni moi n'avons
certainement jamais rien vu d'aussi délicieux au monde.
Le baiseur : Mais esquisse au moins, si tu ne peux peindre, afin que, sachant à peu près à qui je vais avoir affaire, je me remplisse mieux l'imagination de l'idole où je dois sacrifier.Libelulle : Eh bien, mon ami, ses cheveux châtains, qu'à peine on peut empoigner, lui descendent au bas des fesses ; son teint est d'une blancheur éblouissante, son nez est un peu aquilin, ses yeux d'un noir d'ébène et d'une ardeur !... Oh ! mon ami, il n'est pas possible de tenir à ces yeux-là... Tu n'imagines point toutes les sottises qu'ils m'ont fait faire... Si tu voyais les jolis sourcils qui les couronnent... les intéressantes paupières qui les bordent !... Sa bouche est très petite, ses dents superbes, et tout cela d'une fraîcheur !... Une de ses beautés est la manière élégante dont sa belle tête est attachée sur ses épaules, l'air de noblesse qu'elle a quand elle la tourne... salope est grande pour son âge ; on lui donnerai dix-sept ans ; sa taille est un modèle d'élégance et de finesse, sa gorge délicieuse... Ce sont bien les deux plus jolis tétons !... A peine y a-t-il de quoi remplir la main, mais si doux... si frais... si blancs !... Vingt fois j'ai perdu la tête en les baisant ! et si tu avais vu comme elle s'animait sous mes caresses... comme ses deux grands yeux me peignaient l'état de son âme !... Mon ami, je ne sais pas comment est le reste. Ah ! s'il faut en juger par ce que je connais, jamais l'Olympe n'eut une divinité qui la valût... Mais je l'entends... laisse-nous ; sors par le jardin pour ne la point rencontrer, et sois exact au rendez-vous.
double penetration
Le baiseur : Le tableau que tu viens de me faire te répond de mon exactitude... Oh, ciel ! sortir... te quitter dans l'état où je suis !... Adieu... un
baiser... un seul baiser, ma soeur, pour me satisfaire au moins jusque-là. (Elle le baise, touche son vit au travers de sa culotte, et le jeune homme sort avec précipitation.)
Libelulle : Eh ! bonjour, ma belle ; je t'attendais avec une impatience que tu devines bien aisément, si tu lis dans mon coeur.
salope : Oh ! ma toute bonne, j'ai cru que je n'arriverais jamais, tant j'avais d'empressement d'être dans tes bras ; une heure avant de partir, j'ai frémi que tout changeât ; ma mère s'opposait absolument à cette délicieuse partie ; elle prétendait qu'il n'était pas convenable qu'une jeune fille de mon âge allât seule ; mais mon père l'avait si mal traitée avant-hier qu'un seul de ses regards a fait rentrer Mme de Mistival dans le néant ; elle a fini par consentir à ce qu'accordait mon père, et je suis accourue. On me donne deux jours ; il faut absolument que ta voiture et l'une de tes femmes me ramènent aprèsdemain.
Libelulle : Que cet intervalle est court, mon cher ange ! à peine pourrai-je, en si peu de temps, t'exprimer tout ce que tu m'inspires... et d'ailleurs nous avons à causer ; ne sais-tu pas que c'est dans cette entrevue que je dois t'initier dans les plus secrets mystères de Vénus ? aurons-nous le temps en deux jours ?
salope : Ah ! si je ne savais pas tout, je resterais... je suis venue ici pour m'instruire et je ne m'en irai pas que je ne sois savante.
Libelulle, la baisant : Oh ! cher amour, que de choses nous allons faire et dire réciproquement ! Mais, à propos, veux-tu déjeuner, ma reine ? Il serait possible que la leçon fût longue.
salope : Je n'ai, chère amie, d'autre besoin que celui de t'entendre ; nous avons déjeuné à une lieue d'ici ; j'attendrais maintenant jusqu'à huit heures du soir sans éprouver le moindre besoin.